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Shia-Kur, la Fulminatrice - FINI

Shia-Kur

Messages : 29
Date d'inscription : 17/06/2022
MessageSujet: Shia-Kur, la Fulminatrice - FINI

avatar2

Je ferais un homme de toi !

nom Inconnu
prénom Shia-Kur
âge 4500 ans
arme Claymore, au design unique, allongée, robuste
élément Geo
constellation Elephantulus Major
sexe Femme
nationalité Sumeru
affiliation Adeptes
avatar1caractère
Une matrone. Voilà ce que dit Miwa de Shia-Kur. Une femme intransigeante, exigeante et surtout, incroyablement intimidante. En tant qu’enseignante, elle avait été la terreur des guerriers d’antan, et elle continue de l’être encore aujourd’hui quand elle pense pouvoir prendre quelqu’un sous son aile. Le surnom le plus fameux de Shia-Kur, à savoir la Fulminatrice, n’est en rien donnée pour faire joli, pour quelqu’un ayant même pu enseigner aux Yakshas du passé. Chaque fois qu’elle met un étudiant à l’épreuve, c’est toujours en tête de le voir se surpasser chaque fois pour éviter une bourde de sa part, et pendant une journée entière peut-elle refaire le même exercice sans perdre patience.

La patience, étonnamment, est son point le plus apprécié. Elle ne hurle pas, ne frappe ni ne lève la main sur les gens sans avoir une bonne raison derrière, tout aussi effrayante soit-elle. On n’entraîne pas les héros dans la violence ni n’élève les enfants avec la force du muscle, mais avec les leçons bien déterminés. Shia-Kur est une femme digne qui ne perd pas de sa superbe en dépit de son apparence, bien éduquée, savoirs millénaires ancrés dans son esprit avec une mémoire parfaite, le fruit d’une longue vie de combats et d’un milieu guerrier, lui donnant un charisme qui n’est cultivée qu’avec de multiples expériences.

Pourtant, en dépit de tout cela, Shia-Kur est restée une mère et une femme en son sein. Une humaine avec sa propre histoire. Ses sentiments envers ses enfants, en particulier Oyaka, sont complexes, mais elles les aiment encore dans son cœur, et son mari reste toujours dans son esprit. Elle possède un cœur sensible aux autres et elle est profondément empathique. Elle n’aime pas parler de sa vie passée, mais elle mentionne souvent que les éléphants sont ses animaux préférés et que Sumeru avait été sa patrie d’autrefois, dans les plaines désertiques, mais sans jamais trop détailler. Sa poursuite d’Aktur et de ce Nécromancien reste son objectif principale, alimentée encore par la rage du passée.

Il est cependant déconseillé de s’attirer son ire, comme s’en prendre aux innocents, surtout aux enfants, sa fibre maternelle étant particulièrement féroce. Elle n’est cependant pas rancunière, et est toujours prête pour pardonner si tant est qu’on le mérite.

Concernant son apparence, en dépit des sentiments compliqués auquel elle y éprouve, Shia-Kur se voit toujours comme une femme, et les remarques fait contre elle seront toujours répondus avec les siennes, aussi bien taquines pour les proches que des remontrances pour les impolies et les vilains gros méchants. Elle se lamente de ne plus posséder sa lance d’autrefois et n’utilise donc qu’une claymore qui avait été fabriquée pour elle, ne se battant pas aussi bien avec cette arme en dépit de la longue utilisation dont elle en a fait, sa compétence et son déchaînement élémentaire s’en faisant ressentir.

En termes de nourriture, Shia-Kur ne mange que les nourritures les plus épicées, son corps ne pouvant plus goûter comme avant les plats humains quand elle était encore humaine, et ce, en grande quantité. Elle a un faible pour le chocolat et sait bien cuisiner avec ce qu’elle a sous la main.
avatar1physique
Monstrueuse et imposante, voilà comment définir Shia-Kur dans son aspect physique.

Au bord de la mort, son fils Oyaka transporta son âme dans cette étrange carcasse inhumaine. Une peau semblable aux rhinocéros - marquait par plusieurs cicatrices de coups d’épées, de dents et de griffes – sous son armure cérémonielle dotée de plumes et d’un casque cérémoniel avec des défenses d’éléphants en ivoires venant d’un endroit que Shia-Kur ne mentionne que rarement, des yeux mordorés brillant comme des étoiles dans la nuit et une taille frôlant le deux mètres trente, avec un gabarit musculaire qui égalerait ceux de plusieurs hommes travaillant aux docks des ports ou bien des plus grands soldats Millelithes.

Shia-Kur est une femme, mais d’attributs féminins, on y devine seulement qu’avec sa voix, portante et profonde, presque masculine. Son ton est souvent tranchant et bien clair, distinct, attirant l’attention. En dépit de sa taille, Shia-Kur peut courir vite, mais il est clair qu’elle n’a plus l’agilité qu’elle avait sous forme humaine, et sa force aussi, en dépit de son apparence. Son énorme claymore, d’apparence singulière, ne peut être utilisée que par elle si l’on veut se battre de manière efficace. Elle n’est pas invincible et peut tout à fait être battue au combat, malgré l’apparence que lui donne son corps et cet air d’invincibilité, n’étant plus aussi mobile qu’avant. Elle n’est pas avenante surtout, intimidant la plupart des gens normaux.
avatar1Pouvoirs élémentaires
Description de votre compétence élémentaire : Avec sa Claymore, Shia-Kur se met en posture de contre-attaque. Lorsqu'un individu passe en offensive et qu'elle active sa compétence, elle glisse son arme dans l'espace de la claymore pour le coincer et le déséquilibrer, voire dans certains cas le désarmer, pour pouvoir lancer une puissante attaquante.

Description de votre déchainement élémentaire : Shia-Kur fait apparaître une autre claymore dans son autre main, faite d'énergie de Geo. Elle s'élance vers l'avant, puis saute avant d'abattre ses armes au sol avec une puissance phénoménale, tout en créant des débris. Le but de cette technique est d'écraser et de fracasser les défenses ennemis, et les débris sont fait avec de quoi est fait l'environnement, terre, boue, glace, eau, etc, qui lui permet d'avoir un peu de temps pour se remettre en position. La seconde claymore disparaît alors.
avatar1histoire
-  On dirait que les monstres ne nous ont pas vu. Au moins, on n'aura pas besoin de se battre pour ce soir, je suis épuisé. Les bandits d’il y a deux jours ne nous ont pas ménager et nos blessés sont stabilisés. La tempête ne fait rien pour tout arranger. Les tremblements de terre nous ont forcés à changer d’itinéraire pour atteindre Liyue.

-  Hey, vieillard. Comment as-tu pu te débrouiller seul ? Vision ou non, c’est dangereux !

-  Les jeunes gens de nos jours... impétueux, trop impatient, et impolie. Vous devriez vous asseoir et continuer de préparer le thé.

Le groupe de voyageurs, une trentaine, se mirent aux préparations. La nuit risquait d’être longue. Les repas furent servis et le thé aussi.

- Dites-moi, monsieur, comment se fait-il que vous n’utilisiez pas de bâton ? Vous avez plusieurs cicatrices. Je pensais... que vous étiez bien plus faible. Et le fait que vous transportez votre biwa ne me semble pas vraiment une bonne idée.

- Mon jeune garçon, je suis peut-être un vieil homme, mais je ne suis pas sénile. Ni faible. Bien au contraire. Mon biwa n’est que ma passion pour la musique et les contes. Je ne vaux certes pas Yun Jin, mais je suis doué.

- Racontez-nous en une ! Fit alors une femme.

Le vieillard sourit et sortit son instrument. Dans la lueur des flammes dans la grotte, alors que la pluie et le vent battaient dehors parmi les hurlements des monstres, il fit sonner les cordes de son biwa, et raconta alors une histoire.

- Des milliers d’années auparavant, quand Liyue n’était qu’un murmure sur les noms et que les monstres et les démons rôdaient sur nos terres, les Adeptes et autres propriétaires des Visions se battirent pour sécuriser les terres. Mais parmi tous ces guerriers se trouvaient l’une des plus formidables combattantes et maîtresse de la guerre, que l’on nomme aujourd’hui encore Shia-Kur. Venant d’une contrée lointaine et perdue, dans un environnement ou le sable et les montagnes étaient commun, elle avait cependant les cheveux blancs comme de la neige et des yeux d’une couleur émeraude comme personne n’en avait jamais vu. Au combat comme dans les fêtes, elle dansait, et ne faisait qu’un avec le chaos.

‘Shia-Kur, la Fulminatrice. Shia-Kur, Celle qui Dansait sur la Tombe de ses Ennemis. Shia-Kur, Celle qui faisait trembler de peur les Démons, alors qu’elle n’avait pas de Vision. Sa lance fracassait les carapaces, transperçait les cœurs et vaporisait les âmes de ses ennemis qui ne restaient plus rien d’eux alors. Elle fit la rencontre de plusieurs guerriers en tout genre, du plus grand des Adeptes jusqu’aux plus humbles humains, auquel elle leur apprit comment se défendre sans rien demander en retour que le couvert et le gîte. Son nom devint source de respect jusqu’à obtenir l’attention de Rex Lapis, qui lui proposa une série d’épreuves que l’on appelle aujourd’hui les Huits Souffrances. Quand elle les accomplit, elle fut alors récompensée d’une Vision qui la rendit bien plus féroce au combat, et telle fut ses prouesses martiales qu’elle eut un temple bâtît en son nom au sein d’une montagne dans Liyue, et fut alors bénie avec des pouvoirs d’Adeptes.’

‘C’est sur cette montagne qu’elle bâtît véritablement sa légende, de celle de la Fulminatrice. C’est dans ce temple que fût entraînés les plus grands Adeptes et les plus grands guerriers que notre contrée ait pu connaître, au point d’aider dans la formation des légendaires Yakshas. Elle y rencontra son mari, un guérisseur et exorciste spécialiste de l’art ésotérique, Adepte de renom, qui soignait alors un de ses étudiants qui fut blessé par un monstre en tentant de défendre un village, et eurent alors plusieurs enfants. Parmi eux, trois fils s’étaient démarqués. Le premier et le deuxième, s’appelant Coranthus et Nadaka, furent de formidables guerriers au combat, et le troisième, né chétif, s’appelait alors Oyaka, suivit la voie de son père, étudiant son savoir qui lui fut transmis oralement et de par ses écrits.’


Les paroles du vieillard étaient bues comme de l’eau dans un désert par des voyageurs assoiffés. Les flammes dansaient, offrant des ombres. La concentration de l’homme était telle qu’on avait l’impression qu’il était impossible de la briser.

- Mais Shia-Kur avait des ennemis. Un Démon qui avait survécu aux élans furieux de la Fulminatrice complota dans l’ombre et créa des monstres de par son savoir monstrueux, au point de nécessiter l’intervention des Yakshas. Coranthus et Nadaka, tous deux fougueux et impatient de vouloir prouver leurs talents, demandèrent à leur mère de les envoyer en mission. Après avoir combattu férocement leur parent, elle accepta, et fit don d’un précieux cadeau : Shia-Kur sépara sa lance en deux et les offrit à leur fils, que tant qu’ils ne se sépareraient pas, leurs armes resteraient puissantes et ils sauront toujours à quoi pense l’autre. Oyaka ne put rejoindre ses frères, faute de ne pouvoir se battre. Deux lunes s’écoulèrent alors avant qu’une terrible nouvelle ne la frappe : chacun de ses deux fils avait perdu la vie au combat face au Démon, du nom d’Aktur. Shia-Kur fut enragée, et son hurlement fut entendu dans tout Liyue. Ni son mari ni même le grand Rex Lapis ne put calmer sa fureur ni sa rage. Sans armes, elle partit retrouver Aktur pour venger ses enfants, et quand personne n’eut de ses nouvelles, ce fut son mari qui partit la chercher. Ni l’un ni l’autre ne revint.

Un instant de silence se suivit quand il fit jouer une note de biwa, avant de reprendre.

- Oyaka disparut alors. Ses disciples moururent un a un au fil du temps, et les Yakshas aussi. La légende raconte qu’elle errerait toujours dans Liyue sous la forme d’un spectre monstrueux, abattant toutes les créatures impies et autres choses abjects s’en prenant aux innocents, cherchant ses fils et son mari, incapable de retrouver le repos. De rares témoins racontent avoir aperçu les armes légendaires qui auraient composé son ancienne lance alors, quand le temps était brumeux.

- Wah... fit un enfant, les yeux écarquillés. Je n’avais jamais entendu sa légende.

- Bien des légendes se perdent, fit le vieillard, souriant. Peu de gens deviennent conteurs, de nos jours, et ce genre d’histoire est toujours transmis oralement. Mon père me l’a transmise. On aurait apparemment eu une parenté avec l’homme ayant officié le mariage de Shia-Kur avec l’Adepte.

- Mais... Son temple, personne ne sait où il se trouve ?

- Si on ne l’a pas trouvé, c’est que peut-être elle n’a pas voulu qu’on le retrouve. Certaines légendes racontent qu’Aktur l’a personnellement fait fondre avec son souffle de feu, détruisant tout son héritage. Il est temps de dormir les petits. Je monterais la garde, je suis un habitué de l’insomnie.

*

Il ne restait que des braises du feu de camp. Tout le monde dormait. Le vieil homme fumait de sa pipe, l’air distrait. Puis il ouvrit la bouche.

- Je vous ai entendu.

- Un peu trop tard.

- En effet.

Le bruit d’une lame glissant doucement dans son fourreau se fit entendre. Il sourit. Le vieillard savait que si elle le voulait, elle pourrait le faire sans un bruit. Des pas lourds et elle s’installa sur sa gauche. Malgré la pénombre, sa silhouette était remarquable... et ses yeux d’un orange de lave et de feu brillaient comme sa Vision Geo. Son énorme claymore au design orthodoxe pendait sur son dos, et son armure lourde l’intimidait autant qu’il en était surpris : comment pouvait-elle se déplacer avec un silence de mort ? Les deux défenses sortant de son masque cérémoniel représentant une sorte d’éléphant étaient impressionnante, faite de cuivre.

- La zone est nettoyée. Les créatures ont été éliminées. Tu as fait de ton mieux.

- Je suis vieux. Je ne peux plus me battre autant qu’avant.

- Je le constate. Ta vision n’est plus ce qu’elle était, n’est-ce pas ?

Le vieillard tendit sa pipe. Shia-Kur la prit entre ses immenses doigts avec une douceur insoupçonnée et en fuma le contenu. L’opium allégé la calma vraisemblablement, avant de le lui rendre.

- J’ai rendu visite à la tombe de mon mari. Les fleurs qui y poussent... Elles sont toujours aussi belles qu’au premier jour.

- Elles ne se fanent jamais, je le sais. Elles ont poussé après sa mort, n’est-ce pas ? Sous un arbre à fruit, près d’un lac.

- Il m’avait fait sa demande là-bas.

Ils partagèrent un silence commun. Tous les voyageurs dormaient. Profondément. Le ton de la voix de Shia-Kur, d’habitude si mesurée et calme, imposant, devint mélancolique, lourd et épuisée, mais presque aussi haineux.

- Mes enfants me manquent. Même cet imbécile d’Oyaka.

- Je n’ai vu aucun Mage, fit le vieillard. Le dernier que j’ai aperçu datait de plusieurs mois et ils n’ont pas parlé en ce qui concernait d’Aktur.  

Shia-Kur observa ses mains, pensive.

-  Il savait ce qu’il faisait. Sais-tu ce que j’ai vu en cherchant mes deux autres fils ? Des coquilles vides, animées par une lueur maléfique. Ils bougeaient vite et se battaient tout aussi bien que lorsque leurs cœurs battaient... Aktur n’était pas seul. Quelque chose d’autre l’avait contrôlé. Quelqu’un se faisant appeler le Nécromancien. Et mon fils, Oyaka, y est mêler. C’est de lui que je tiens ce corps.

Un corps inhumain, monstrueux, immonde. Mais un corps mobile et capable, tout de même. Le vieillard n’avait pas besoin de regarder Shia-Kur pour y voir une lueur compliquée, y mêlant la haine, le dégoût... et des sentiments tout aussi contradictoires.

- J’ai dû les tuer de mes propres mains. De briser leurs os et de leur arracher le cœur avant qu’Aktur ne profite de ma faiblesse pour se battre contre moi. Je n’ai pu le tuer. Mais j’allais mourir... jusqu’à me réveiller dans un temple, qui s’était retrouvé effondré dans une montagne, avec une lettre d’Oyaka expliquant ce qui s’était passé. Le Nécromancien lui aurait parlé en plus d’avoir parlé avec Aktur, avant qu’il ne disparaisse... et je n’ai jamais pu retourner dans mon ancien temple. Trop de souvenirs s’y trouvent. J’ai passé tellement longtemps dans ce corps... qu’on me compare toujours aux monstres du coin, ou qu’on m’y confond avec une Brutocollinus. Rien n’est plus le même. Je n’ai plus ma lance d’autrefois et... aucune ne me sied comme elle avait pu l’être. Même la manière dont je me bats à changer. Mon âme... Elle est toujours mienne, mais dans un corps qui n’est pas le mien. Sais-tu comment on se sent, de voir son propre cadavre alors que vous savez que vous êtes en vie ? Je sais que je ne suis pas morte, et pourtant...

Shia-Kur cligna lentement des yeux. Elle se détendit, se tendit, et ainsi de suite. Pendant plusieurs minutes de silence.

- Je vous serais toujours redevable de m’avoir sauvé, dit alors le vieil homme, quand je n’étais qu’un enfant et que vous m’avez pris sous votre aile. Vous m’avez logé, nourrit et enseigner tout ce que vous saviez. Demandez-moi n’importe quoi et je le ferais. Vous pouvez toujours me parler.

Shia-Kur tourna son regard vers le vieil homme, avant qu’elle ne pose son énorme main sur son épaule.

- Tu as toujours eu du bon en toi, Miwa, même quand tout le monde se moquait de toi dans ton ancien village.

Le vieillard sourit et souffla un nuage de fumée après avoir pris une bouffée de sa pipe.

- Je ne sais pas ce qui cause les tempêtes, mais ça n’a pas l’air lié à Aktur. Mais pourtant... je sens que quelque chose se trouble dans l’horizon. Quelque chose de plus grand, dans l’ombre de la tempête.

- Moi aussi, Miwa. Moi aussi.

Ils restèrent en silence pendant plusieurs heures. Puis Shia-Kur disparut peu avant l’aurore, et les voyageurs purent apercevoir les cadavres des monstres dehors, tandis que Miwa restait en retrait, pensif.

Des sables jusqu'aux montagnes, j'y pleure mes enfants, chéris de mon passé // Chant funéraire de Shia-Kur.
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Comment vous nous avez trouvé : En recherchant un forum Genshin
Nouveau sur le forum ou collectionneur de DC ? : Nouveau, fiche en retard
Autre chose ? : J'espère que mon personnage vous plaira et qu'on va tous s'entendre ! Le design du forum est franchement superbe !

©linus pour Epicode

Shia-Kur
Shia-Kur, la Fulminatrice - FINI EmptyLun 25 Juil 2022 - 2:23



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https://teyvats-stories.forumactif.comCatherine
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Messages : 59
Date d'inscription : 30/05/2022
MessageSujet: Re: Shia-Kur, la Fulminatrice - FINI


Shia-Kur, la Fulminatrice - FINI IAfgSia

Félicitations !


Catherine
Shia-Kur, la Fulminatrice - FINI EmptyJeu 28 Juil 2022 - 15:40



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